Paris Day et Night

Dans un vidéo on peut insérer les sous-titres, nous avons apposé les signatures avec les désignations des curiosités sub

Plus
Pin

Change the language of the article:enru

De la création de la vidéo “Paris Day et Night”

Cet article est consacré à tout ce qui est le plus difficile et intéressant qu’on a rencontré pendant l’enregistrement de notre petit film sur Paris. Si vous voulez découvrir ce qui se cache derrière le décor et si vous avez des questions à propos de son processus de création, asseyez-vous bien confortablement, nous allons essayer de tout vous raconter.

Il est possible que quelqu’un de vous ne connaisse pas la technique de la mise en place de tels vidéos et ne sache pas ce qui est le time-lapse ou le hyperlapse, alors, pour commencer, on va raconter un peu de théorie.

Le time-lapse  est une prise image par image des événements spontanés dans le même intervalle du temps. D'habitude dans le milieu urbain c' est le mouvement du ciel et des nuages, le trafic humain et de transport, les aubes et les couchers etc.

L'hyperlapse est une telle variété des time-lapses, quand une caméra est en mouvement selon la trajectoire définie, de plus on peut même rien se passer dans cette image, mais on réussira l'effet que la caméra vole ou fait le survol autour d'un principal objet.

tit
Équipe :
prise du film et montage de vidéo
Constantine Konovalov
Irina Neustroeva

musique et sound design
Fab Martini

assistance au montage de vidéo
Sergey Akimov

line a propos des questions de la coopération écrivez
à l'adresse e-mail :
email

On tourne tous les time-lapses et hyperlapses comme une séquence des images. Dans la caméra ou sur le pupitre extérieur on fixe afficher l'intervalle, dans lequel la caméra fera des images. Si le time-lapse est statique, après le choix d'une vue intéressante il faut fixer la caméra sur le pied de support et attendre, quand elle tournera la quantité nécessaire des images dans l'intervalle du temps fixé. En cas des hyperlapses l'opérateur déplace la caméra pour les espacements définis (le plus souvent les mêmes) en choisissant l'objet pour le rattachement, autour duquel la caméra fera le vol.

Après la première prise de test fructueuse de la tour Eiffel pendant une paire de semaines nous nous sommes occupés profondément de planification de la vidéo. Il nous fallait définir précisément ce que nous voulons montrer au spectateur. Il semble que Paris est une ville tellement connue que toutes ses curiosités sont déjà familières d'après les livres, les films et les récits. Mais il y a quand même des places gâtés par l'attention, et nous avons tâchés de ne pas les oublier sur le fond des symboles les plus connus de Paris. Dans notre liste il y avait près de 95 points clés: fontaines, obélisques, sculptures, monuments, horloges, gares, ponts, musées, parcs, jardins, boulevards, places, ainsi que les entrées au métro et les monuments extraordinaires. C'était un guide fait de nos propres mains. Tous ces objets font la ville de Paris telle, quelle elle est. Nous n'avons pas de tâche de visiter et de tourner tous ces lieux. Il fallait commencer, et puis agir à la base du matériel tourné.

Coucher du soleil. À ce moment nous tournions le mouvement
des ombres, qui nous avons lancé dans la succession inverse pour créer la sensation du lever du soleil (0:09)

Notre metteur en scène était la ville elle-même. Il nous dictait souvent, lequel des objet il faut tourner et de quelle façon faire cela.

Pendant les prises des time-lapses  et des hyperlapses il ne faut pas préparer l'emplacement et les décors, puisque la ville les a déjà crées, mais à cause de cela l'effet du hasard a une grande influence.

Par exemple, nous allions à travers les Tuileries et est ont vu, comment on a commençé à monter la grande roue à propos de la foire de Noël – c'était un spectacle captivant. Les ouvriers montaient la roue immense comme un meccano – et ils faisaient cela très vite. Aussi nous sommes tombés par hasard sur les peintres qui couvraient de dessins le mur de la maison abandonnée, mais ensuite nous avons appris qu'ils le font régulièrement – chaque dimanche.

Somme toute, nous avons tourné chaque jour d'un à dix petits épisodes à 2–4 secondes. Au total les prises de cette vidéo ont pris environ 40 jours, mais le temps dans un time-lapses est autrement mesuré. On faisait toutes les prises juste à Paris, et nous avons passé là-bas trois mois en tout (d'octobre à janvier). En dehors des prises des time-lapses nous nous occupions aussi d'autres projets.

Nous tournions toutes les scènes sur la caméra Canon 60D avec les objectifs TOKINA 11–16 mm f/2.8, TAMRON 17–50 mm f/2.8, HELIOS 44M–4 et SIGMA 70–300 mm f/4 – f/5.6

Pendant la prise des time-lapses une très grande aide donne aussi l'enfilage alternatif Magic Lantern pour Canon. Après son installation la caméra acquiert une série de fonctions supplémentaires. Une parmi celle est la possibilité d'installation dans la caméra d'une intervalle entre les images pour la prise du time-lapse. Le pupitre extérieur s'acquitte aussi de cette tâche. Un zoom numérique supplémentaire pour la visée exacte de la caméra au point nécessaire nous réglions aussi par l'enfilage alternatif. Nous avions toujours avec nous-mêmes le pied de support et le mini-chariot, nous allons encore raconter du dernier.

On voudrait aussi ajouter à la liste d'équipement un adjoint fidèle sous forme d'iPhone avec l'application Sunfollower, qui pronostiquait pour n'importe quel point dans la ville la position du soleil pour un temps donné. Ainsi nous ne devions pas attendre l'éclairage nécessaire au lieu de la prise. Nous connaissions d'avance, à quelle heure serait correctement éclairé l'objet nécessaire pour nous.

Ah oui, le temps lui-même était notre deuxième metteur en scène et c'était lui qui aidait la ville. Parfois il fallait annuler la prise du film à cause d'un fort froid ou la pluie. Mais il y avait très peu de telles situations, et en tout le temps à Paris était excellent. Il est étonnant que novembre était plus froid que décembre, et nous devions mettre deux paires de gants pour ne pas avoir froid pendant les prises du film. Mais en décembre est arrivé le vrai printemps sans neige et pluie.

Hyperlapses au lieu d'un drone
On peut tourner les hyperlapses par de différents moyens. Il y a pour cela une multitude d'équipement pour la stabilisation d'un image, dont le but principal est de simplifier le procès complexe de la prise image par image. Mais cette vidéo, y compris les vols sur la ville, nous tournions par le moyen classique sans gadgets supplémentaires.

Prise des scènes dans La Defence – le quartier d'affaires de Paris (0:51)


Pour tourner un image de longueur à 3 secondes avec la caméra planant, comme d'un coptère sur Paris, il faut faire 72 images et 10 fois dire quelque part “excuse me” et “excusez–moi”. C'est que pour tels vols nous utilisions les terrasses panoramiques de la Notre-Dame, de la tour Eiffel, de l'Arc de Triomphe et d'autres lieux, d'où s'ouvre une vue admirable sur la ville. Si vous êtes déjà familiers avec la technique de la prise des hyperlapses, pour vous ça ne sera pas le secret que pour tourner un beau image avec une caméra mobile vous devez trouver l'objet de la prise et une trajectoire directe, à l'aide duquelle vous pourrez contrôler la douceur de mouvement de la caméra. Cela peuvent être carreaux de pavement régulièrs ou la main courante égale. Sur les terrasses panoramiques il y a toujours des barrières et d'habitude ce sont des mains courantes droites, par lesquelles on peut déplacer la caméra. Mais un principal obstacle aux prises était des questions non techniques, et les gens, qui en masse occupent toutes les mains courantes sur les terrasses panoramiques. C'est pourquoi pour la prise soignée avec le déplacement de la caméra nous devions à centaine de fois nous excuser et demander s'écarter de la main courante pour une minute. Il est très difficile de faire cela etant seul, bien que les images de la terrasse panoramique de Notre-Dame soient tournées par une personne. Mais d'habitude nous faisons des prises à deux: une personne toune et est s'occupe entièrement du procès, et deuxième personne communique avec les touristes, en expliquant pour quoi on a besoin de l'accès à la main courante concrète pour 30 secondes.

De plus le temps jouait le rôle de l'acteur principal et très capricieux. À la prise d'un time-lapse des vidéos il faut faire des images dans les intervalles de temps égaux pour que le mouvement des objets (par exemple, des nuages) se passe harmonieusement. C'est pourquoi on ne pouvait pas simplement attendre jusqu'à ce que quelqu'un s'éloignerait.

Le temps avait aussi l'importance au sens global. Les feuilles commençaient à tomber vers le mois de décembre et les arbres devenaient nus, et dans de belles rues il y avait des tentes de foire de Noël, qui se trouvaient dans l'image par sa partie de derrière peu attrayante, et en tout cachaient la vue nécessaire. Cela a apporté ses corrections dans la conception et pendant le montage il fallaitt déplacer l'un de l'autre les scènes avec de vertes couronnes épaisses des arbres et avec les branches nues. Dans certains cas à la phase de postproduction on repeignaient les feuilles vertes en feuilles jaunâtres.

Terrains panoramiques sur
Notre-Dame et la tour Eiffel


Enceinte ronde
Les scènes tournées des toits ne sont pas la partie principale de la vidéo, mais nous appliquions beaucoup de fois le principe de la prise des mains courantes droites.

À tout moment Paris nous proposait d'utiliser ses petites palissades et barrières alambiquées. Par exemple, sur la place des Victoires il y a un des monuments, que nous voulions tourner absolument – le monument du roi Louis XIV connu comme le "Roi Soleil". La place elle-même possède une géométrie extraordinaire – elle est parfaitement ronde, et même les façades des maisons qui la forment sont arrondies selon son contour. Le monument lui-même au centre de la place est aussi entouré de l'enceinte parfaitement ronde avec les ergots sortant à la même distance, sur lesquelles il est confortable de fixer la caméra. Et on a envie de prendre avec soi-même une telle enceinte rappelant un gigantesque slider rond et le mettre autour des autres curiosités pittoresques.

Place des Victoires ronde
(image Apple Maps) et une image prise sur cette place (2:12)

Caméra à roulettes et linoléum
Déjà au début des prises nous avons compris que nous avions besoin d'outil, qui remplacerait un slider. Pour trouver quelque chose pareille, nous sommes partis aux photomagasins. Il est intéressant que tous les photomagasins à Paris se sont concentrés dans un lieu au boulevard des Filles-du-Calvaire. On peut trouver Ici tout – des salons des producteurs des caméras aux revendeurs de la vieille photooptique. Dans un des magasins nous a plu le mini-chariot pour caméra, dans lequel nous avons vu à la fois un grand potentiel.

A l'aide de ce chariot on peut déplacer la caméra sur les surfaces planes, simplement la faire rouler et viser un peu par le centre de l'image sur l'objet de la prise. On pouvait prender les plans directement de la terre. Mais ce n'était pas la décision universelle, puisque ce n'est pas toujours qu'il y a de bonnes surfaces planes. Nous avions comme une tâche un déplacement doux de la caméra sur ce chariot, mais il est impossible de la déplacer harmonieusement, si vous vous déplacez sur le pavé ou simplement sur la dalle de pierre. C'est pourquoi nous avons inventé comment améliorer la technologie d'une telle prise sur n'importe quelles surfaces. Nous sommes partis à Leroy Merlen pour acheter le linoléum. Peut-être, cela se montrera étrange, mais la décision d'acheter le linoléum était la plus importante pendant toute la durée de ce projet. Nous étendions le morceau de linoléum et roulaient la caméra sur ce morceau. Quand le linoléum s'achevait, était déjà prêt un deuxième morceau, sur lequel passait la caméra, cela permettait de remettre le premier morceau en avant sans interrompre la prise du film. Nous avons ainsi créé un slider infini. Certes, on peut simplement utiliser un slider normal pour la caméra. Mais il n'est pas tellement confortable, parce que pour le déplacement de la caméra sur une grande distance vous avez besoin d'un long slider métallique. Et il est beaucoup plus difficile de se déplacer avec lui à travers la ville, parce que ce n'est pas un linoléum, qu'on peut jeter au sac à dos et grimper à la tour Eiffel.


Prise du film du pied de support
Sauf le mini-chariot et le linoléum magique nous utilisions le pied de support ordinaire. Le choix de la méthode de fixation de la caméra pendant la prise dépend non seulement de ce à l'aide de quoi il est plus confortable de tourner, mais aussi de la tâche. Quand nous roulons la caméra par la surface sur les roulettes, les déplacements ne sont pas tellement sensibles, comme en cas de mouvement de la caméra sur le pied de support. Pour tourner la scène du pied de support en idéal il faut déplacer la caméra exactement selon la trajectoire préparée, régulièrement marquée sur la terre. Pour un tel rattachement, par exemple, convient la dalle de trottoir. Il est aussi important de fixer l'appareil photographique lui-même de telle façon que le point central de l'image soit toujours visé à l'objet le pixel par pixel. N'importe quelles inexactitudes pendant la prise amènent à la complication de la stabilisation ultérieure de la représentation pendant le montage.

À l'écran de notre caméra presque toujours est déjà fixé un adhésif transparent, sur lequel une "mire" est appliquée qui présente simplement le point dessiné par le marqueur. Avant chaque image il faut viser la caméra de telle manière que le point choisi sur un objet de la prise coïncide avec le point marqué sur la caméra. Nous nous sommes habitués il y a longtemps à cette méthode de superposition d'images. Sur l'écran de la caméra on peut toujours coller une pellicule transparente ou un adhésif et ensuite faire les marques sur l'écran par un marqueur fin sans avoir peur d'abîmer la caméra.

Prise de l'entrée au métro
du linoléum et une image
réussie de la vidéo (3:48)

Trois scènes de mouvement : le tunnel, la rue, la rivière
La vidéo n'est divisée qu'en Paris de jour et Paris de nuit. Elle se compose des souschapitres soi-disants, qui sont liés par la logique totale. Il y a aussi 3 scènes avec le mouvement à travers la ville en voiture, en bateau et en métro. Ces scènes se distinguent des autres par un autre dynamisme et les principes de la prise. Pour tourner une vue du premier wagon dans le métro, il ne faut faire rien de difficile, puisqu'à Paris il n'y a pas déjà de mécaniciens sur quelques lignes. Les trains vont automatiquement et sont dirigés par l'ordinateur. Ils n'ont pas de cabine, chacun peut s'approcher de la fenêtre du premier ou dernier wagon et scruter la lumière à la fin du tunnel. Nous avons simplement fixé la caméra sur la fenêtre et elle-même a tourner tout.

Pour tourner la scène d'eau, nous devions occuper une partie du pont avant du paquebot et simplement se promener par la Seine. À vrai dire, à cause d'un fort ballottement sur l'eau il fallait faire le grand travail pendant traitement du matériel tourné.

Le passage de l'automobile à travers le Monmartre tortueux est devenu le mouvement le plus complexe dans la ville. Pour les prises de cette scène il a fallu fixer la caméra sur nous-mêmes et aller faisant pas à pas, en visant très exactement à travers l'écran de la caméra. Après quelques expériences nous avons inventé la fixation optimal du pied de support sur la personne, quand la caméra est fixée dans une position au mouvement pas à pas. Et de plus on pouvait tourner à une image une fois tous les 5 secondes, sans perdre le temps pour le déplacement de la caméra sur le pied de support. On pouvait tourner cette scène d'une autre manière à l'aide de l'équipement supplémentaire, mais celui-là restait à Moscou. Ça veut dire que nous inventions la décision des matériels de fortune.


Postproduction et stabilisation
Presque chaque jour nous faisions le soir le dérushage automatique. Ainsi, nous esquissions approximativement un timeline du projet pour qu'on pouvait mieux comprendre, quels points de repère sont absents pour la représentation totale. Cela aidait à choisir le matin tells lieux, où il faut venir et ce qu'il faut encore tourner.

Au total le prémontage a pris 11 minutes environ avec le matériel, qui exigeait déjà une analyse plus profonde et la stabilisation qualitative de l'image. Nous nous en sommes occupés déjà à Moscou.

Prise du pont d'un bateau (2:29)


À propos de la stabilisation. Probablement, plusieurs lecteurs ne se passionnant pas pour la vidéoproduction, n'ont pas compris tout à fait, quelle stabilisation nous avons déjà mentionnée plusieurs fois. Le fait est que ce n'est pas suffisamment de faire quelques dizaines d'images en déplaçant la caméra dans les intervalles égaux en l'espace pour recevoir une belle représentation harmonieuse. La prise n'est qu'une moitié du travail. La deuxième moitié est un procès du traitement des images reçues et leur regroupement dans un vidéo doux. Il faut pour cela à l'aide du logiciel (en notre cas c'est Adobe After Effects et Mocha Pro) détourner et déplacer chaque image de quelques pixels pour qu'il se rencontre parfaitement avec l'image voisin. Merci aux technologies, qui nous aident à économiser le temps et stabilisent le vidéo dans la plupart des cas en mode semi-automatique. Mais il est vrai que certaines scènes exigegeaient l'aplanissement manuel image par image. Une telle stabilisation peut prendre beaucoup de temps. Dans cette vidéo il y a des scènes, que nous alignions pendant quelques jours.

Il est important de comprendre que plus soigneusement vous tournerez le matériel, plus facilement ensuite le stabiliser et créer une belle représentation vive de l'ensemble des images.

Revenons au montage. Quand toutes les scènes sont préparées et stabilisées, il faut les réunir au film unique ayant la logique concrète. En effet, il y avait beaucoup de matériel et le rejet des scènes inutiles n'est pas un procès agréable. Nous devions recevoir de 11 minutes environ 5 minutes conçues, et cela signifiait qu'il fallait se délivrer de la moitié du matériel. Les scènes avec les problèmes de stabilisation, où l'image était insuffisamment propre (en comparaison d'autres images) ont été rejetées les premières. Puis nous avons commencé à réunir le matériel resté dans une vidéo, en diminuant la durée des scènes ou en rejetant les moments tout à fait estompés. Ce qui est le plus complexe dans n'importe quel procès créateur c'est refuser la partie du matériel déjà prêt. Il est vrai que derrière ce matériel se trouve un travail sérieux. Mais nous avons fait ce travail difficile, après quoi nous avons appelé le monteur professionnel Sergey Akimov pour aider pendant la formation du montage final. Il a passé en revue le matériel pendant quelques jours et a mis au rebut encore quelques scènes. Nous n'avions pas eu le courage de les rejeter, puisque la prise de ces images nous avait réussi difficilement. Mais le regard frais est toujours capable d'aspirer au projet la vie nouvelle. Sergey a fait une série de corrections au montage là, où, à notre avis, il y avait quelque chose qui clochait.

Au total nous avons tourné ca. 1 terabyte du matériel au format RAW, que nous avons puis délicatement transformé en ce mini-film de Paris.

Image de l'écran Adobe After Effects pendant la stabilisation manuelle de la scène avec la Statue
de la Liberté (0:29)


Musique
Compositeur de musique et concepteur sonore du son Fab Martini [fabmartini.com] de l'Italie s'occupait à distance de la musique et des sons. Nous demandions Fab d'écrire la musique à l'esprit parisien et de la diluer par sa silence et les sons des prises du film. D'abord nous pensions que l'on peut sonoriser toute la vidéo seulement par les sons et les bruits de la ville, probablement, ajouter un peu de musique pour le fond, puisque souvent l'accompagnement musical interrompe toute une vidéosérie. Mais bientôt nous nous sommes arrêtés sur la prédominance de la musique sur les bruits. Nous avons commencé à discuter avec Fab la musique encore pendant les prises. Pendant le travail sur le projet il a écrit plusieurs mélodies, nous devions reprendre plusieurs fois la décision en faveur du choix de une autre conception musicale et le procès musical recommençait. Après une des itérations nous sommes commencé le remontage, parce que la mélodie nous a inspiré rendre au timeline plusieurs scènes mises au rebut un peu avant. Le plus vite nous avons trouvé le sujet musical de nuit: pendant les prises il se présentait environ de telle façon. Tout le montage se passe de telle façon qu'au passage vers la nuit le rythme de la série visuelle s'accélère et la musique transmet ces sensations. Elle tresse dans lui-même le rythme moderne dynamique, ainsi que les échos des sons de l'accordéon parisien. Ensuite nous travaillions longtemps sur la composition de jour. Tout le travail se faisait pendant la réalisation des autres projets. Nos lettres et les lettres de Fab commençaient souvent par les mots “Sorry for delay”, mais avec chaque nouvelle version la mélodie s'approchait de plus en plus à la vidéo jusqu'au moment, quand soudain nous nous sommes rendus compte que la vidéo est prête.

Il restait seulement à nettoyer les images des oiselets. Oui, des oiseaux – ils volaient souvent devant la caméra pendant les prises du film: ce qui pendant l'assemblage de tous les images se transformait en scintillement irritant à la manière de la poussière sur une vieille pellicule cinématographique.

Merci beaucoup, Fab, merci beaucoup, Sergey, pour l'aide dans la création de cette vidéo!

De Paris
Jusqu'ici il nous semble que Paris est la ville créée spécialement pour la prise des films. Tous les bâtiments dans cette ville sont les uns meilleurs que les autres. C'est une ville-musée. Jusqu'ici nous n'avons pas compris, pourquoi les gens font les longues queues au Louvre, si l'on peut tout simplement se promener et examiner l'architecture et la géométrie de la ville. Nous n'avons visité le Louvre que 85-ième jour de notre vie à Paris. Certes, il est intéressant de voir le coussin habilement sculpté sous le corps de la jeune fille-adolescent. Mona Lisa charme neanmoins déjà non par le regard, mais par deux annonces de deux côtés : “Prenez garde, les voleurs à la tire”. Pour l'essentiel au centre de Paris se trouvent des maisons basses. Pour les touristes il y a beaucoup de terrains panoramiques, desquels on peut tourner tranquillement.

À Paris existe Velib - un excellent réseau municipal de location des vélos et de pistes cyclables reliant toutes les régions de la ville, le mouvement du transport de bicyclette est réglé, il y a beaucoup de locaux à vélos, la vitesse des voitures est basse, les conducteurs des automobiles sont bienveillants. Tout cela aidait vite à se déplacer à travers la ville et à recevoir le plaisir de chaque ruelle pittoresque.


Et les fans de football peuvent se montrer en apparence agressif, mais, en fait, ils se réjouissent simplement forte pour son équipe. Avez-vous remarqué les éclats de la lumière qui avaient éclairé la maison à côté de Moulin Rouge dans une des scènes de la vidéo ? On voudrait raconter cette histoire séparément. Un des soirs nous sommes allés avec le linoléum et la caméra à vidéos tourner le Moulin Rouge. Nous avons compté, combien de secondes prend le moulin en faisant un quart de tour pour définir la durée d'exposition de l'image, et avons commencé à tourner. Mais pendant la prise est survenue une foule des gens de l'apparence arabe avec des fires. Quelque chose nous soufflait qu'il fallait nous en aller d'urgence. Il était tout à fait incompréhensible, qu'est-ce qu'ils voulaient. Mais nous continuions la prise, parce que tout allait bien et il était à regretter de laisser un tel image sans finir. Un des garçons s'est approché de nous et a demandé de ce que nous faisions et pourquoi nous avions mis le linoléum sur le puits d'aérage. Nous lui avons tout expliqué, après quoi il nous a souhaité tout de suite de bonnes prises. Et il a appelé les autres garçons, qui étaient assez nombreux, ayant les demandés de ne pas nous empêcher. Et en vérité, nous avons continué à tourner, et ils ont continué à s'amuser. Ainsi nous avons partagé la place en deux. La raison de leur gaieté était le but marqué au cage de la sélection ukrainienne par leur compatriote au stade parisien Stade de France.

Gaieté des fans de football
à la Place Blanche pendant la prise de la scène avec le Moulin Rouge (3:27)

Le métro est très caractéristique à Paris. Il a été tout de suite inséré dans notre plan de la prise du film grâce à ses passages étroits, au mouvement et aux entrées alambiqués de l'architecte Gimara. Nous regagnions déjà notre logis pour l'essentiel en métro, puisque nous vivions sur l'élévation à Monmartre et il n'y avait pas toujours de forces pour tourner les pédales en montant.

Directement à Paris nous avons eu l'idée de débrouiller le schéma embrouillé du métro Parisien. D'abord nous avons découvert la ligne circulaire cachée, qui relie toutes les branches du métro à l'instar de la ligne circulaire dans le métro de Moscou, mais celle-là comprend deux lignes et sur le schéma officiel elles n'ont aucune forme mise en relief caractéristique. Depuis ce temps-là nous avons commencé à travailler sur la variante du schéma, que nous testons sur toutes les personnes de notre connaissance, qui vont à Paris. Maintenant nous avons accumulé l'ensemble des rappels et nous préparons la variante renouvelée en tenant compte des remarques. Pour ce projet nous avons même enregistré le site metromap.fr, où nous envisageons d'annoncer la variante finale du schéma.

La police est bonne à Paris, et à la différence de Moscou la prise dans le métro n'est pas interdite. Pendant toutes les prises, et parfois nous tournions très longtemps, en nous démenant sur une place en poses étranges, les policiers ne nous sont approchés que quelques fois. Une fois c'était dans le métro. Nous tournions à la station, ayant mis sur le quai un morceau de linoléum et en nous accroupissant visaient tout le temps, sans conduire le regard de l'écran de la caméra et la déplaçaient par de petites distances. Les policiers se sont intéressés simplement à ce que nous faisions, il leur était intéressant, qu'est-ce qui est mis sous la caméra. Naturellement, ils nous ont souhaité de bonnes prises du film.

Un des exemplaires de notre version du schéma du métro parisien

Paris

Paris nous a charmé du premier coup d'oeil comme les autres pesonnes nombreuses, même malgré le fait que notre premier regard soit d'abord à l'aéroport, et ensuite à la Gare du Nord. Paris a des contrastes, mais grâce à cela elle est une ville très intéressante.

Paris n'est devenu que notre metteur en scène, mais aussi un principal acteur de ce film.
line

Collectif créateur Nous nous appellons Constantine Konovalov et Irina Neoustroeva, nous faisons le groupement créateur Teeter-totter-tam. Pour l'essentiel nous travaillons à Moscou et nous nous occupons de la création de l'animation stop-motion, des time-lapses, de vidéo et de l'art graphique.
Compositeur de musique et concepteur sonore Fab Martini de l'Italie s'occupe de la musique et des sons.
A propos des questions de la coopération écrivez à l'adresse e-mail :
email

Vous abonnez-vous à notre groupe à facebook, s'il vous est intéressant d'être au courant de nos projets. Nous serons contents, si vous communiquez vos impressions à vos amis.

Plus
Pin

Panorama de Paris de l'Arc
de Triomphe pendant la prise
de la scène avec le coucher du soleil (3:09)




Добавить комментарий

Для отправки комментария вам необходимо авторизоваться.

Seo Packages